Connectez-vous avec... 

L’Ecomusée de Loix a brûlé

17 septembre - Incendie à l'EcomuséeHier soir 18 heures, branle-bas de combat à Loix. L’Ecomusée, situé dans le virage avant d’atteindre le village, est en feu. Les pompiers sont arrivés en grand renfort d’Ars-en-Ré, du Bois-Plage, de Saint-Martin de Ré et même la grande échelle de Mireuil-La Rochelle. L’incendie a pris dans le bureau du directeur, Benoît Poitevin. En plus, de fortes bourrasques de vent attisaient quelques peu les flammes. Les tuyaux ont été tirés depuis la borne d’incendie, installée fort à propos au bord des marais depuis le printemps dernier.  Deux heures plus tard, le feu était circonscrit.

A l’heure à laquelle cela s’est produit, l’Ecomusée avait heureusement fermé ses portes au public. Les dégâts sont uniquement matériels. Aujourd’hui en fin de matinée, il était annoncé que le bâtiment était fermé mais toutefois que les visites de marais continuaient. 

Rappelons que l’Ecomusée est la propriété du Conservatoire du Littoral.

 

Vendredi 13, loto, bingo !

Je ne sais pas si vous avez gagné au super loto. Ça peut arriver, comme le disait le slogan de la Française des Jeux, il y a une dizaine d’années, « 100 % des gagnants ont tenté leur chance ». J’ai tenté, mais je n’ai pas gagné, même pas deux bons numéros…  Vendredi 13, à Ars-en-Ré, les sympathiques buralistes accueillaient les clients avec humour, juste pour le fun. Gros succès…

Loto, vendredi 13 septembre

 

Il semble qu’il n’y ait eu une qu’une seule grille gagnante ce jour-là, avec à la clé une cagnotte exceptionnelle de 13 millions d’euros. Dans la semaine, nous saurons qui est le veinard. Tout n’est pas perdu, cette année il y a un deuxième vendredi 13, ce sera le vendredi 13 décembre. 

Louise, de Loix à Pékin

Louise Franchet, septembre 2013Quand Louise Franchet avait 14 ans, en 2010, elle me racontait que son rêve était d’apporter une banane à Roger Federer sur le court central de Roland Garros, pour lui donner du tonus ! Elle avait été alors sélectionnée pour être voltigeuse lors des Internationaux de France.  Elle a non seulement approché son idole, mais elle lui a apporté la serviette, les boissons et la nourriture.

Louise à Roland Garros, mai 2010En prime cette année là, en tête de file, elle a porté la coupe au gagnant, Raphaël Nadal. Puis en novembre,  elle a été acceptée comme ramasseuse de balles aux Masters de Bercy.

L’année suivante, Louise est devenue ramasseuse de balles officielle du tournoi de Roland Garros, au terme d’une semaine de tests physiques de résistance, d’endurance et de comportement. 15 ans est l’âge limite pour être ramasseur de balles, il est préférable de démarrer le plus tôt possible. Elle n’a jamais agit sur le court central, en tant que telle, ce qui lui donne quand même un petit pincement au coeur.  De nouveau, à Bercy, la même année, il a été fait appel à elle.  En parallèle elle poursuivait assidûment ses études à Poitiers, au lycée Camille Guérin.

A Loix, on l’a vu former les jeunes, Continuer la lecture de Louise, de Loix à Pékin

Les travaux du Boutillon reprennent

Dès les vacanciers partis, le chantier de construction de la nouvelle digue du Boutillon a recommencé. Lundi 2 septembre, il avait de nouveau des ballets de camions et de pelles sur le chantier.

Bien évidemment, nous nous posons tous des questions. Ils font quoi ? Quelle est l’étape suivante après que d’énormes pierres aient été entreposées ? A quoi vont-elles servir ?

Et puis dans la semaine, d’immenses portiques en ferraille marron ont été agencés. Le week-end nous avons pu constater l’impressionnante architecture. Au début de cette semaine, une grosse pelle était à la manoeuvre pour continuer l’édification de ces portiques.

Renseignements pris, ces grands assemblages vont servir de guide pour la pose de palplanches, des sortes de grands murs de soutènement et d’écran, qui serviront à assurer la protection lorsque les travaux de démolition de l’ancienne digue seront entrepris, avant la construction de la nouvelle digue…

Un sacré chantier !

89 associations rétaises en fête

Le nombre d’associations dans l’île de Ré n’est pas connu, aucune liste exhaustive n’existe semble-t-il. Elles seraient entre 200 et 300, certaines actives d’autres en sommeil. Dimanche 8 septembre, c’était la Fête des associations. Elle se tient chaque année à la rentrée, alternativement  au nord ou au sud de l’île. Cette année, cela se passait dans le village artisanal de Loix. 89 associations ont présenté leurs activités, montrant bien la palette de ce qu’il est possible de faire sur l’île de Ré.

Non, l’hiver, on ne s’ennuie pas ici, contrairement à certaines idées reçues… 

Fête des associations - Loix - 9 septembre 2013

Le temps clément avait ramené plein de monde. Il faut dire que le programme était alléchant, cinquante ateliers d’initiation étaient proposés tout au long de la journée. Les enfants ont été particulièrement gâtés. Une belle journée, où l’on pouvait discuter, jouer, se restaurer, découvrir des sports, s’inscrire à des activités puisque la rentrée est le moment des bonnes résolutions, devenir adhérent, acheter des petits cadeaux… Continuer la lecture de 89 associations rétaises en fête

Thalassa, ambiances de tournage

Il paraît que pendant la guerre 39-45 on a dénombré environ 200 bunkers, petits et grands, sur l’île de Ré. Ils ont été construits par l’armée allemande. Savez-vous que les endroits où  ils se situaient portaient un nom féminin ? L’île était alors divisée en secteurs défensifs, et chaque secteur portait un prénom allemand. J’ai appris cela lors du tournage  de l’émission Thalassa, consacrée à « La deuxième vie des forts, des fortins et des blockhaus du Pertuis charentais »De nos jours, plusieurs de ces édifices ont retrouvé une utilisation plus plaisante. Ils ont été réhabilités et ils sont habités par des familles.

Klara était le nom donné pour Saint-Clément des Baleines. Il y avait là, entre autres, une casemate pour canons située sur la plage de la Conche. Lola désignait les Portes-en-Ré. Un abri pour hommes de troupe, près de la chapelle de la Redoute, y avait été édifié. Ilse était le nom du secteur du Martray à Ars-en-Ré, où ne se trouvait qu’un seul blockhaus, celui du  Fort du Martray. 

L’équipe de Thalassa est partie à la rencontre des occupants actuels de trois lieux insolites. Nous les découvrirons sur nos téléviseurs d’ici la fin de l’année.

A Ars, deux batteries allemandes,  Karola et Kora, surveillaient la côte ouest du canton nord de l’île. Aujourd’hui, elles ne sont pas habitées et restent à l’état de souvenirs.  

Continuer la lecture de Thalassa, ambiances de tournage