C’est le nom qu’a choisi de donner un des parrains facétieux de l’opération « J’adopte un homard » que la Communauté de Communes a lancée en début d’année.Tine à la plage, pour ô Martine à la plage !, … mais oui c’est évident !
Plus de 1000 homards ont déjà été adoptés. Lorsque j’ai interrogé Fabienne, l’écogarde responsable du programme, à propos des petits noms qui avaient été donnés, j’ai bien ri. Je vous en livre quelques uns, histoire Continuer la lecture de Tine à la plage
Clochette, la vache jersiaise de Loix, s’adapte bien à son nouvel environnement. Cela fait un mois qu’elle fait partie du décor loidais avec sa copine, la chèvre Coquette, qui va également très bien. Dès que vous appelez « Clochette, Clochette » du bout du chemin, elle arrive en cabriolant de plaisir, ravie de voir du monde, et vient léchouiller les mains tendues au dessus du grillage de l’enclos.
Clochette et Coquette s’aiment d’amour tendre. Mais seulement voilà, la vache a tendance à trop câliner la chèvre…
Elle la cajole avec sa langue bien râpeuse. Au passage de cette caresse bovine un peu rugueuse, la chèvre a perdu Continuer la lecture de L’amour vache
Aujourd’hui, à l’heure du déjeuner, sur le port de Saint-Martin, les terrasses étaient noires de monde. Bermudas, shorts, dos nus, robes décolletées, un pt’it air de bonheur flottait ! Les premiers vacanciers sont arrivés, plutôt à peau blanche. Il est vrai que le soleil a bien manqué à tous…
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Attention, nous ne sommes pas encore en mai, où là enfin nous pourrons faire ce qu’il nous plaît ! Ce soir, le petit vent du nord a surpris plus d’un et une. A gla gla ! ça risque de durer quelques jours.
Dimanche, j’ai appris un nouveau mot : marache. C’est le nom pour désigner la lotte, aussi nommée baudroie dans d’autres régions. Si un jour, quelqu’un un jour vous dit que vous avez « une gueule de marache », il n’y a plus qu’à rebrousser chemin et dégager vite fait. Il n’est pas sûr que ce soit un compliment. Quoique…
Des dents bien aiguisées, des dents de la mer…
Sa particularité : sa tête est aussi grosse que sa queue. Celle-ci pèse 15 kg. Une belle prise, rare de nos jours. Ce qui n’était pas le cas il y a quelques années. Les Anciens disent qu’ils en pêchaient couramment, dans le temps…
Voilà un animal marin, un mollusque céphalopode, qui migre sur nos côtes au printemps. Il a besoin de conditions climatiques très particulières. Cette année, son arrivée est bien timide. Si le vent vient du sud-est, un vent de sudet, c’est pas bon. Si le vent vient du nord, c’est mieux. Mais avec un vent du nord glacial, c’est pas bon du tout. La bête se laisse désirer ! Elle a besoin d’un peu de chaleur et d’une mer plutôt calme, ce qu’il faut bien constater, n’a pas été le cas ces dernières semaines.
Les habitants d’Ars se nomment traditionnellement les Casserons, car les seiches y ont pullulé, un temps… jadis…. Le mot seiche vient du mot latin « sepia », ilse traduit par « encre« , tant prisée par les peintres ou les calligraphes. Les Italiens disent « neiro di sépia ».
La pêcher est tout un art. Certains partent à pied, espérant la trouver nageant entre deux eaux. D’autres mettent des filets au large. En Bretagne et en Normandie on la pêche plutôt au casier, dans lequel une femelle est posée en appât pour attirer les mâles. Savez vous reconnaître un mâle d’une femelle ?
A gauche la dame, à droite le monsieur. Il a des stries blanches sur sa robe.